Jean-Louis Leca, directeur sportif du RC Lens, a eu un flair monstre. En effet, le mercato estival 2025 a vu Robin Risser rejoindre le RC Lens pour trois millions d'euros en provenance du RC Strasbourg. Derrière ce transfert se cache une désillusion profonde. Le gardien de 20 ans révèle aujourd'hui les dessous d'un divorce contraint avec son club formateur.
Robin Risser ne mâche pas ses mots. "Ma volonté, c'était de devenir le gardien titulaire. C'était aussi la volonté du club, en Alsace, mais peut-être pas outre-Manche", confie-t-il au DNA.
Le portier alsacien pointe du doigt l'influence de BlueCo, consortium propriétaire de Chelsea et du Racing. Les décisions prises à Londres ont scellé son destin strasbourgeois.
Risser évoque un "jugement émis très rapidement". Une évaluation qui arrangeait les actionnaires anglais. La suite ? L'arrivée en prêt de Djordje Petrovic depuis Chelsea, et ensuite celle de Mike Penders. L'expérience a marqué le jeune gardien qui restait pourtant sur un prêt concluant au Red Star. "Ça m'a permis de voir la facette un peu plus sombre du monde pro", reconnaît-il.
Risser assume tout de même sa part de responsabilité. "Je n'ai peut-être pas tout bien fait, sur le plan footballistique, je le reconnais". Mais la pilule reste amère. Le natif de Colmar ne garde cependant aucune rancœur. "Je n'en tiens rigueur à personne", assure-t-il. Une maturité impressionnante pour un joueur de 20 ans.
De son côté, le RC Lens a misé trois millions d'euros sur le potentiel de Risser. Un pari gagnant. Le gardien enchaîne les prestations solides en Ligue 1. Pierre Sage, entraîneur lensois, ne tarit pas d'éloges. "Il est très surprenant dans sa capacité à exploser les compteurs".
Ce samedi, Robin Risser va donc retrouver le RC Strasbourg avec forcément un petit brin de revanche dans la tête, même s'il laisse entendre le contraire. Espérons juste pour les lensois que l'émotion et cet esprit de revanche ne prennent pas le dessus ...
Robin Risser ne mâche pas ses mots. "Ma volonté, c'était de devenir le gardien titulaire. C'était aussi la volonté du club, en Alsace, mais peut-être pas outre-Manche", confie-t-il au DNA.
Le portier alsacien pointe du doigt l'influence de BlueCo, consortium propriétaire de Chelsea et du Racing. Les décisions prises à Londres ont scellé son destin strasbourgeois.
Risser évoque un "jugement émis très rapidement". Une évaluation qui arrangeait les actionnaires anglais. La suite ? L'arrivée en prêt de Djordje Petrovic depuis Chelsea, et ensuite celle de Mike Penders. L'expérience a marqué le jeune gardien qui restait pourtant sur un prêt concluant au Red Star. "Ça m'a permis de voir la facette un peu plus sombre du monde pro", reconnaît-il.
Risser assume tout de même sa part de responsabilité. "Je n'ai peut-être pas tout bien fait, sur le plan footballistique, je le reconnais". Mais la pilule reste amère. Le natif de Colmar ne garde cependant aucune rancœur. "Je n'en tiens rigueur à personne", assure-t-il. Une maturité impressionnante pour un joueur de 20 ans.
De son côté, le RC Lens a misé trois millions d'euros sur le potentiel de Risser. Un pari gagnant. Le gardien enchaîne les prestations solides en Ligue 1. Pierre Sage, entraîneur lensois, ne tarit pas d'éloges. "Il est très surprenant dans sa capacité à exploser les compteurs".
Ce samedi, Robin Risser va donc retrouver le RC Strasbourg avec forcément un petit brin de revanche dans la tête, même s'il laisse entendre le contraire. Espérons juste pour les lensois que l'émotion et cet esprit de revanche ne prennent pas le dessus ...






